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分类:悬疑 韩国 2013
主演:朴正洙,张员瑛,李政宰,刘亚仁,李昇基,崔胜哲,尹净汉,洪知秀,权顺荣,全圆佑,李知勋,李硕珉,金珉奎,夫胜宽,崔韩率,李灿,金道英,金硕珍,闵玧其,郑号锡,金南俊,朴智旻,金泰亨,田柾国,方灿,李旻浩,徐彰彬,黄铉辰,韩知城,李费利克斯,金昇玟,梁精寅,刘知珉,内永枝利,金旼炡,宁艺卓,林英雄,斑斑,金玟莹,南侑廷,洪恩智,李有那,李羲承,朴综星,沈载伦,朴成训,金善禹,梁祯元,西村力,全余赟,韩韶禧,郭英敏,金钟炫,姜东昊,黄旼炫,崔珉起,朴智媛,金施贤,韩恩智,曹世林,许庾琳,王怡人
导演:邱若龙
龙怀城分外骄傲的在后面打躬:“儿子送母亲,母亲好好歇息才是,父亲他,可是身子却好。”国公夫人摆摆手,也许是让儿子不要说,也许是让儿子不要骄傲,洒下眼泪数行,一言不发头也不回的走了。
林允文肚子里暗笑,骂着敬酒不吃吃罚酒的东西,老子对你有用,你这就另一副面孔。嘴上道:“还住它为什么?”
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米粉碎屑到处飞扬,像片小小的白雾扑得帐子上也有。帐上绣的是百子嬉戏图,小孩子脸上挂着块吃的,别提有多滑稽。
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金参政舌头打结:“没有……不敢这样的话…。”
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“殿下说已查得差不多,再无党羽的话,就直接抓捕。”
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Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas états-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.? Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. ?Jonas Mekas? Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon ?uvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entra?nement. ?Jonas Mekas, 1972? Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’?uvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transpara?tre ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres appara?tre dans leur ambigu?té phénoménale. ?P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997? Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en ha?ku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. ?Philippe Azoury, ? Vivace Jonas Mekas ?, Libération, 31 octobre 2000